Titre : | Negro toi-même | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pierre Leguillon, Editeur scientifique | Editeur : | Paris : Isthme éd. | Année de publication : | impr. 2005 | Importance : | 1 vol. (124 p.-[16] p. de pl.) | Présentation : | ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-912688-61-3 | Prix : | 12 EUR | Langues : | Français | Résumé : | L’exercice critique, celui de l’écriture, de la description et de l’évaluation d’une œuvre (entendue ici dans son sens global) est la voie la plus récente choisie par Marylène Negro pour fournir une nouvelle perception de son travail (actuel et rétrospectif. Conçue par le critique et commissaire d’expositions Pierre Leguillon, cette petite publication a, avec intelligence, été façonnée au format d’un livre et non d’un catalogue monographique classique. D’emblée, on perçoit qu’elle a été perçue comme le support d’une parole écrite, de réflexions d’ordres littéraire, esthétique et/ou critique. Ces différents récits retracent en filigrane les règles d’un contrat passé entre l’artiste et huit professionnels de l’art (commissaires d’exposition, responsables institutionnels, auteurs) à qui elle a laissé carte blanche pour écrire noir sur blanc dans un livre dont elle leur avait uniquement communiquer le titre : Negro toi-même. |
Negro toi-même [texte imprimé] / Pierre Leguillon, Editeur scientifique . - Paris : Isthme éd., impr. 2005 . - 1 vol. (124 p.-[16] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-912688-61-3 : 12 EUR Langues : Français Résumé : | L’exercice critique, celui de l’écriture, de la description et de l’évaluation d’une œuvre (entendue ici dans son sens global) est la voie la plus récente choisie par Marylène Negro pour fournir une nouvelle perception de son travail (actuel et rétrospectif. Conçue par le critique et commissaire d’expositions Pierre Leguillon, cette petite publication a, avec intelligence, été façonnée au format d’un livre et non d’un catalogue monographique classique. D’emblée, on perçoit qu’elle a été perçue comme le support d’une parole écrite, de réflexions d’ordres littéraire, esthétique et/ou critique. Ces différents récits retracent en filigrane les règles d’un contrat passé entre l’artiste et huit professionnels de l’art (commissaires d’exposition, responsables institutionnels, auteurs) à qui elle a laissé carte blanche pour écrire noir sur blanc dans un livre dont elle leur avait uniquement communiquer le titre : Negro toi-même. |
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